Chisasibi, Eastmain, Mistissini, Nemaska, Ouj�-Bougoumou, Waskaganish, Waswanipi, Wemindji, Whapmagoostui
21 septembre 2021
Suivez avec nous la journée type des équipes dédiées à la surveillance, l'inspection et l'entretien des barrages du Complexe La Grande.
21 septembre 2020
Chisasibi et Hydro-Québec collaborent ensemble pour le assurer la sécurité du public.
30 mars 2018
Dans l'estuaire et la baie de Rupert, une équipe évalue les niveaux d'eau ainsi que les limites de l'intrusion saline afin de vérifier si les changements engendrés par la dérivation partielle de la rivière Rupert ont un impact sur la localisation du front salin.
1er janvier 2018
Le Comité de suivi Cris–Hydro-Québec est un forum d'échange important pour les questions environnementales. La 100e réunion du comité s'est déroulée dans la communauté de Mistissini. Pour souligner cet événement et reconnaître le travail accompli, un banquet festif a été organisé en présence des maîtres de trappage et de leur famille.
1er novembre 2017
Par des pêches aux filets sur le tronçon à débit réduit de la rivière Rupert, une équipe suit l'évolution des communautés de poissons en documentant les caractéristiques biologiques, la composition et les rendements de pêche des populations.
1er octobre 2017
Dans l'estuaire et l'embouchure de la Rupert, une équipe évalue l'impact de la diminution des apports de carbone organique à la suite de la dérivation partielle de la rivière Rupert et son effet sur la faune de petite taille Au moyen de captures au filet, on étudie la croissance du meunier rouge ainsi que son régime alimentaire, qui est composé essentiellement d'invertébrés vivant au fond de l'eau.
1er septembre 2017
Dans le tronçon à débit réduit de la rivière Rupert, une équipe examine l'aspect des rives et repère les modifications par des survols en hélicoptère et des relevés au sol. Les données ainsi récoltées permettent qu'on fasse le suivi de la dynamique des bandes riveraines et la mise à jour de la cartographie des rives.
1er août 2017
Sur la rivière Rupert, une équipe évalue l'incidence de la réduction du débit sur le paysage. Ce travail nécessite qu'on analyse les composantes du paysage de même que les effets des ouvrages hydrauliques et des ensemencements des berges sur les aspects visuels de la rivière. On étudie aussi la perception qu'ont les Cris et les visiteurs du paysage.
3 juillet 2017
Dans le secteur de la rivière Rupert et des biefs Rupert, une équipe suit l'évolution de la végétation riveraine et aquatique. Chaque formation végétale fait l'objet d'un relevé le long d'un transect afin que l'on puisse en créer le profil. On visite ces mêmes transects pendant plusieurs années afin d'évaluer les modifications que subit la végétation.
8 juin 2017
Par des survols en hélicoptère et des déplacements sur l'eau, une équipe évalue les conditions de navigation dans les biefs Rupert en relevant les contraintes présentes dans les couloirs de navigation. On produit ensuite une carte afin de favoriser le maintien des activités de navigation pratiquées par les Cris.
13 avril 2017
Au pied de centrales situées sur la rivière Eastmain, une équipe étudie les populations de poissons à la suite des modifications du milieu aquatique engendrées par la mise en service de la centrale de l'Eastmain-1-A. Grâce à des pêches aux filets ainsi qu'à des mesures et des prélèvements en laboratoire, on peut évaluer les rendements de pêche et décrire les caractéristiques des populations de poissons.
23 mars 2017
Par des observations et des transects en vol et au sol, une équipe réalise le suivi des oiseaux de proie, du hibou des marais, de la chouette lapone ainsi que de la mouette de Bonaparte en recensant les couples nicheurs ou les nids dans les secteurs des biefs et du tronéon é débit réduit de la riviére Rupert.
23 février 2017
Dans les rivières Rupert et Nemiscau, en aval des biefs, une équipe responsable de collecter des échantillons d'eau visite en hélicoptère 23 stations d'échantillonnage. Les échantillons sont ensuite envoyés en laboratoire pour être analysés afin que l'on puisse suivre l'évolution de la couleur et de la turbidité de l'eau ainsi que des matières en suspension dans ces rivières.
8 février 2017
Le belvédère Upichiwin a été aménagé à proximité de la centrale La Grande-1 en collaboration avec le centre culturel de Chisasibi. Il s'agit d'un site commémorant les rapides Upichiwin, qui étaient un lieu de rassemblement et de pêche important pour la communauté crie de Chisasibi. À l'inauguration du site à l'automne 2015, la cérémonie a été marquée par le dévoilement de cinq panneaux d'interprétation mettant en valeur la riche histoire des lieux.
13 janvier 2017
Pour assurer le bon déroulement des activités, une équipe assure un soutien aux groupes de consultants en matière d'équipement et de transport tout en s'occupant de la recherche et de l'embauche de la main-d'oeuvre crie. Par son professionnalisme, son engagement, son entregent et sa rigueur au travail, Sidney Loon a largement contribué à l'essor et au succès de cette importante équipe.
Février 2013
Quand la baie de la rivière Rupert est glacée, les résidents de Waskaganish l’utilisent pour aller chasser et pêcher. Pour comprendre l’objectif du suivi des glaces, écoutons les explications de Ryan Erless, représentant au comité de suivi, Gordon Weistche, travailleur et Tristan Aubel, consultant.
28 octobre 2016
En aval de la centrale de la Sarcelle, une équipe vérifie l'intégrité de la grande frayère aménagée en procédant à la collecte de matériel dérivant. Les œufs et les larves recueillis sont ensuite triés, comptés et identifiés en laboratoire. On mesure ainsi l'utilisation de la frayère.
30 septembre 2016
Dans le cadre de la réalisation du complexe de l'Eastmain-Sarcelle-Rupert, des activités de suivi environnemental sur le cisco ont été réalisées pendant huit ans. Un grand nombre de travailleurs cris de la communauté de Waskaganish ont participé à ces activités. Pour marquer la fin des suivis du cisco, la communauté a organisé un festin afin de remercier les travailleurs et de saluer l'importance du travail accompli.
26 Août 2016
Dans le secteur des biefs Rupert, cinq frayères multispécifiques ont été aménagées en aval d’ouvrages de restitution de débit réservé. Afin de vérifier leur intégrité et de confirmer leur utilisation, des équipes travaillent activement à la récolte en rivière ainsi qu’au triage et au décompte en laboratoire d’œufs et de larves de poissons.
28 Avril 2016
Pour faciliter l’intégration au travail des nouveaux employés cris, Hydro-Québec a mis sur pied un programme de mentorat entre travailleurs expérimentés et employés cris. Lors de la rencontre annuelle du Comité d’intégration des employés cris, une activité culturelle visant à mieux faire connaître la culture crie a été organisée dans la communauté de Chisasibi.
30 Mars 2016
Dans le cadre du complexe de l’Eastmain-Sarcelle-Rupert, un comité a été créé pour gérer adéquatement le régime de débit réservé écologique en aval de l'évacuateur de crues de la rivière Rupert. Composé de représentants cris et d'Hydro-Québec, le Conseil de gestion de la rivière Rupert a la responsabilité de formuler des recommandations pour maintenir le régime de débit réservé écologique et ainsi assurer la préservation de l'habitat des poissons et la continuité des activités cries sur la rivière Rupert.
7 Mars 2016
Associé au complexe de l’Eastmain-Sarcelle-Rupert, un comité a été créé pour gérer adéquatement le programme d’activités de suivi environnemental. Le Comité de suivi Cris–Hydro-Québec a la responsabilité d’assurer la participation active des Cris aux activités de suivi, de recueillir les préoccupations des utilisateurs du territoire relatives aux questions environnementales, et de diffuser l’information des études et des programmes dans les communautés cries.
15 Février 2016
Cinq ans après la dérivation partielle de la rivière Rupert, un site commémoratif a été inauguré près du barrage principal. À l'automne 2014, on a procédé au dévoilement d'un magnifique monument en hommage aux populations cries qui ont utilisé la rivière et aux terres dont elles ont tiré leur subsistance pendant des millénaires.
Janvier 2016
À la suite de la dérivation partielle de la rivière Rupert, une équipe mesure la présence du castor dans les biefs et sur les berges de la rivière Rupert. Pour y arriver, elle dénombre les colonies actives et inactives, et enregistre les preuves d'occupation.
Septembre 2015
Dans les milieux touchés par la dérivation partielle de la Rupert, une équipe suit l’évolution des teneurs en mercure de la chair des poissons. À la lumière des résultats, on produit un guide de consommation avec le Conseil cri de la santé et des services sociaux de la Baie-James de façon à permettre aux Cris de bénéficier des bienfaits d’une saine consommation de poisson.
Septembre 2015
Sur la rivière Rupert, une équipe vérifie les conditions de navigation pour en dresser un portrait et évaluer l’efficacité des mesures d’atténuation mises en place. Après analyse des données recueillies, on produit une carte afin de favoriser le maintien des activités de navigation pratiquées par les Cris.
Septembre 2015
Dans les biefs Rupert, l’évolution des communautés de poissons est suivie de près par une équipe sur le terrain dont le travail consiste à d’écrire les caractéristiques biologiques de même que la composition et l’abondance des populations de poissons à l’intention des Cris.
Juin 2015
Dans le tronçon à débit réduit de la rivière Rupert, deux immenses frayères naturelles se distinguent en aval de grands rapides. Ces zones sont d'une grande importance pour les Cris. Elles font l'objet d'études afin qu'on puisse établir le succès de la fraie et la chronologie de reproduction des espèces cibles.
Avril 2015
Sur la rivière Rupert, le régime de débit réservé écologique du printemps et de l'automne a été mis en place pour favoriser la fraie des poissons. Tout le long de la rivière, des équipes mesurent le succès de la fraie de l'esturgeon sur les frayères naturelles en vérifiant leur intégrité physique et en dénombrant les œufs.
Mars 2015
Le printemps explose de vie à la Baie-James. Par des inventaires aériens, une équipe d'observateurs, accompagnés de maîtres de trappage, mesurent l'abondance et la répartition des couples nicheurs et des couvées de sauvagine tout en prenant grand soin de ne pas déranger les chasseurs à l'affût.
Février 2015
Les consultants d’Hydro-Québec accompagnés des maîtres de trappage survolent attentivement la rivière Rupert et le secteur des biefs. Leur objectif est d’évaluer l’utilisation des milieux riverains par la petite faune après la dérivation partielle de la rivière Rupert. Ils dénombrent les différentes espèces, dont plusieurs sont importantes pour la chasse et la trappe.
Janvier 2015
Suite à la dérivation partielle de la rivière Rupert, la faune à dû s'adapter à de nouveaux habitats. Une équipe survole la rivière Rupert et les biefs pour étudier la présence de l'orignal, un animal important pour les Cris. Les maîtres de trappage participent de près aux travaux.
Octobre 2014
Des frayères à omble de fontaine ont été aménagées dans certains tributaires de la rivière Rupert. Pour en savoir plus, écoutez Walter Joly, Leslie Tent et Lawrence Jimiken qui parlent de cette activité de suivi environnemental et de la pêche à l'omble de fontaine.
Octobre 2014
Pour maintenir la libre circulation du poisson après la dérivation partielle de la rivière Rupert, on a aménagé deux chenaux de montaison. Une équipe s'assure que les ouvrages sont stables et qu'ils respectent les conditions naturelles d'écoulement. Pour mieux comprendre, voyez les explications de Lawrence Jimiken, de Luke Tent et de son fils, Leslie.
Août 2014
Jimmy Neeposh de Mistissini travaille en hydrométrie depuis 15 ans. Lors des travaux d'entretien des stations d'hydrométrie dans les secteurs de la baie de Waskaganish et de la rivière Rupert, Jimmy explique son rôle dans cette activité de suivi environnemental.
Février 2013
Quand la baie de la rivière Rupert est glacée, les résidents de Waskaganish l’utilisent pour aller chasser et pêcher. Pour comprendre l’objectif du suivi des glaces, écoutons les explications de Ryan Erless, représentant au comité de suivi, Gordon Weistche, travailleur et Tristan Aubel, consultant.
Octobre 2012
La pêche à l’esturgeon est bien ancrée dans la culture traditionnelle crie, notamment chez la communauté de Nemaska. Pour aider à préserver cette espèce de poisson, un programme d’enregistrement volontaire des captures de l’esturgeon a été mis en place. Jimmy Blackned, responsable de l’enregistrement volontaire de l’esturgeon, et Lawrence Jimiken, représentant de Nemaska au comité de suivi, expliquent comment fonctionne ce programme.
Octobre 2012
Le suivi environnemental sur l’utilisation des frayères à touladi permet entre autres de vérifier la présence d’œufs. Les maîtres de trappage Matthew Iserhoff et Georges Neeposh présentent leur rôle dans ce suivi, mais aussi l’importance du touladi pour leur communauté.
Octobre 2012
Visite sur la rivière Eastmain avec Timothy Moses et Robert Dumont, techniciens pour Kaweshekami Environnement. Ils expliquent comment le savoir traditionnel cri et la science sont complémentaires dans la réalisation du suivi sur l’utilisation des frayères par le grand corégone.
September 2012
Plusieurs activités de suivi environnemental portent sur le cisco, une espèce de poisson particulièrement valorisée par la communauté crie de Waskaganish. Tournée à Smokey Hill, cette vidéo nous fait vivre la pêche à l’épuisette avec deux résidents de Waskaganish, Ricky Weistche et son fils, Anson. Il s’agit d’un bel exemple de transmission entre les générations du savoir traditionnel sur le cisco.
Juin 2011
Alfred Wapachee, reporter à la radio JBCCS (James Bay Cree Communications Society), prend connaissance des ouvrages aménagés pour le projet de l’Eastmain-1-A – Sarcelle – Rupert. En effectuant ses entrevues, qui seront diffusées à l’émission Hydlo & Friends, il livre ses impressions : « je ne m’attendais pas à cela. Tout semble en bon état. Je croyais que les terres seraient gâchées… »
Juin 2011
« On recense les poissons et les œufs. Mes enfants travaillent ici avec nous. Plus je maîtrise ce que je fais, plus j’aime mon travail et j’en suis fière… »
Juin 2011
« J’ai obtenu différents types de contrats depuis le début... Que ce soit de petits ou de gros contrats, j’ai toujours aimé travailler ici, sur le territoire où je chassais et je trappais. Le projet a aidé beaucoup de familles en répondant à leurs besoins et en leur procurant du travail… »
Décembre 2011
Rencontre avec des élèves inscrits au nouveau programme collégial de Technique en milieu naturel offert à Chibougamau. De jeunes Jamésiens et Cris veulent apprendre les secrets de la terre, des plantes et des écosystèmes de leur territoire. Après leur formation, ils pourront travailler dans leur région et collaborer à des projets forestiers, miniers ou hydroélectriques.
Décembre 2011
Souvenirs des campements de l'Eastmain-1-A et de la Sarcelle. Découvrez les travailleurs de l'ombre. Des gens qui contribuent à leur façon au succès des projets et à la qualité de vie de celles et ceux qui y participent. Voyez « l’effaceur magique » et entendez l’histoire des loups qui aimaient les avions.
Septembre 2011
Lawrence Jimiken, coordonnateur – Comité de suivi et directeur – Corporation Niskamoon. « Depuis que les barrages ont été construits, on demande à Hydro-Québec et à la SEBJ de réaliser des études pour assurer la protection de l’esturgeon. Cette espèce doit demeurer toujours présente dans les rivières. »
Septembre 2011
Lawrence Jimiken, coordonnateur – Comité de suivi et directeur – Corporation Niskamoon. « La période de croissance de l’esturgeon est longue. Certains disent que le poisson doit avoir 25 ou 26 ans avant de pouvoir frayer la première fois. Ensuite, il peut frayer tous les 5 ans. À l’âge de 30 ans, il aura donc frayé 2 fois. À Nemaska, nous essayons de trouver des moyens de protéger l’esturgeon. »
Septembre 2011
Lawrence Jimiken, coordonnateur – Comité de suivi, et directeur – Corporation Niskamoon. « Hydro-Québec mène des études sur la diminution de l’esturgeon jaune dans la rivière Rupert. J’ai visité les deux écloseries qui ont été construites pour le projet de l’Eastmain-1-A. »
Septembre 2011
Lawrence Jimiken, coordonnateur – Comité de suivi et directeur – Corporation Niskamoon. « Lorsque je pêche l’esturgeon jaune, je tiens compte de mes captures. Il faut se soucier de la quantité de poissons que l’on pêche. Sinon, la population de poissons va diminuer. »
Septembre 2011
Luke Tent, maître de trappage. « Je connais bien l’esturgeon et son mode de vie. Ils m’ont demandé de me joindre à l’équipe lorsqu’est venu le temps de mettre le poisson à l’eau. J’indiquais sur mes cartes les endroits où se tenait l’esturgeon. Les Cris devraient participer à la prise de décision pour déterminer où on doit relâcher les poissons. »
Septembre 2011
Matthew Iserhoff, maître de trappage. « Mon grand-père pêchait l’esturgeon jaune et c’est comme ça que j’ai appris comment le tuer et gérer cette ressource durant la période de fraie. Ils ont aménagé des frayères dans les secteurs qui ont été ennoyés. Ça fonctionne bien ! »
Septembre 2011
La dérivation partielle de la rivière Rupert, en 2009, n’a pas eu d’impact sur l’abondance du cisco au site de pêche de Smokey Hill. C’est ce que démontre le suivi de la population de poissons réalisé en 2010 et en 2011. S’il est toujours présent, le cisco doit s’adapter à son nouvel environnement. Ce qui pose un défi aux pêcheurs de Waskaganish qui doivent réapprendre à «lire» la rivière afin de découvrir où se trouve le poisson.
Août 2011
La pêche à l’épuisette est une activité traditionnelle chez les Cris. Des gens aménagent des bassins à l’aide de pierres pour la pratiquer au site de pêche de Smokey Hill. Chaque année, du mois d'août au mois de septembre, des gens de toutes les générations se donnent rendez-vous à cet endroit. C’est une occasion de transmettre le savoir traditionnel aux plus jeunes.
Juin 2011
L’action se déroule sur le territoire du maître de trappage George Neeposh. Des hommes effectuent des travaux de plantation sur le site d’une ancienne carrière. Le sol est sec, ce qui rend la tâche difficile. Pour se motiver, le moyen le plus efficace est de plaisanter et de rire entre collègues.
Avril 2010
La dérivation partielle de la Rupert représente un important défi technique et environnemental. On a aménagé, en aval du barrage de la Rupert, cinq seuils, deux épis et un tapis en enrochement. L’ensemble des huit ouvrages permet de maintenir les niveaux de la rivière sur près de la moitié de son parcours. Un beau travail d’équipe !
2010
Comme dans un album de famille, amitié et complicité réunissent Adam, Alfred, Camille, Carol, Daniel, Donna, Françoise, Gilbert, George, Harry, Heather, Isaac, James, Jane, Josie, Kevin, Llyod, Margaret, Morley, Pascale, Robbie, Robert, Sidney, Simeon, Thomas, Tommy, Victoria, Walter, Wanda et plusieurs autres.
2010
Comme dans un album de famille, amitié et complicité réunissent Adam, Alfred, Camille, Carol, Daniel, Donna, Françoise, Gilbert, George, Harry, Heather, Isaac, James, Jane, Josie, Kevin, Llyod, Margaret, Morley, Pascale, Robbie, Robert, Sidney, Simeon, Thomas, Tommy, Victoria, Walter, Wanda et plusieurs autres.
Octobre 2009
Le 8 octobre 2009, on inaugure le belvédère Tommy-Neeposh. Près de 80 personnes assistent à l’événement, dont une quarantaine de membres de la famille Neeposh. Décédé en 2008, Tommy Neeposh a partagé l’amour de son territoire avec sa famille, ses enfants, les chasseurs et les trappeurs. Cet homme de partage a aussi fait preuve d’ouverture en permettant la réalisation du projet de l'Eastmain-1-A–Sarcelle–Rupert. Pour lui témoigner sa reconnaissance, Hydro-Québec a nommé le tunnel de transfert Tommy-Neeposh.
Juin 2009
Le projet de l’Eastmain-1-A–Sarcelle–Rupert a des répercussions sur les habitats des poissons. Leur protection est un enjeu. Des frayères, des seuils, des chenaux de montaison et d’autres ouvrages ont été aménagés pour compenser les pertes occasionnées par les travaux de construction.
Juin 2009
Où vivent les poissons ? Où se reproduisent-ils ? Les maîtres de trappage connaissent bien leur territoire. Leur précieuse collaboration permet de déterminer les principaux habitats de poissons à protéger. Ils participent aussi à la réalisation des mesures d’atténuation et au suivi environnemental.
Juin 2009
Assistez à la naissance de larves d’esturgeon. Observez-les grandir dans un bassin. Vivez leur retour dans la rivière Rupert. L’écloserie située au campement de l’Eastmain peut produire annuellement jusqu’à 10 000 jeunes esturgeons jaunes. Le programme de mise en valeur de l’espèce vise l’ensemencement dans la Rupert d’au moins 5 000 jeunes par année entre 2008 et 2012.
Juin 2009
Au barrage de la Rupert, la rivière continue de s’écouler. Conformément à la Convention Boumhounan, Hydro-Québec a pris un engagement. Elle doit s’assurer que les utilisateurs de la rivière peuvent poursuivre leurs activités de chasse, de trappage, de pêche et de navigation. Voilà pourquoi l’eau s’écoule par une vanne pendant toute l’année. C’est ce qu’on appelle le régime de débit réservé !
2009
Ils sont venus de Waswanipi, Mistissini, Québec, Waskaganish, Eastmain, Kanehsatake, Chisasibi, Nemaska, Montréal, Pikogan… Ils ont mis leurs talents et leurs énergies en commun pour réaliser un important projet. Ils auront aussi bâti des liens uniques.
Produit et réalisé par Jane Voyageur et Wanda Gabriel
Septembre 2008
Des couteaux, des outils, des pièces de fusil, des têtes de hache, des ustensiles, des perles de verre, des restes de canoë… De 2002 à 2010, des équipes d’archéologues fouillent plus de 275 sites touchés par le projet de l’Eastmain-1-A–Sarcelle–Rupert. Leur travail consiste à repérer, à identifier et à décrire les traces ou vestiges qui témoignent de la vie passée. Le but : préserver le patrimoine cri et mieux comprendre la vie des populations qui ont parcouru le territoire au cours des derniers millénaires. Plusieurs Cris ainsi que les membres de leurs familles participent aux activités sur le terrain.
2008
Le 30 octobre 2008, une cinquantaine de personnes se réunissent pour le dévoilement d’un monument près du réservoir de l’Eastmain-1. Le monument Iiyiyiu Iinuu honore les populations autochtones et les terres dont elles ont tiré leur subsistance depuis des milliers d’années. Il rend aussi hommage aux disparus dont les sépultures ont été ennoyées lors de la mise en eau du réservoir. Le monument comprend six panneaux représentant chacune des six communautés touchées par le projet : Mistissini, Nemaska, Waskaganish, Wemindji, Eastmain et Chisasibi.
2008
Le 18 juin 2008, on inaugure un sabtuaan au campement de la Rupert. Plusieurs Cris travaillent sur les chantiers et on veut faciliter leur intégration lors de leur séjour au campement. Le sabtuaan leur offre un lieu de rassemblement dans un environnement familier où ils peuvent cuisiner des repas traditionnels. Les travailleurs de toutes origines y sont les bienvenus, ce qui contribue à la bonne qualité de vie au chantier.
Novembre 2007
Plusieurs Cris ont travaillé sur les différents chantiers du projet de
Juillet 2007
En 2007, on commence le déboisement des aires qui seront ennoyées par la création des biefs Rupert. Plusieurs contrats sont accordés aux maîtres de trappage touchés ; des entreprises cries obtiennent aussi d’importants contrats. Le déboisement vise notamment à faciliter l’accès aux plans d’eau et la navigation.