Nous travaillons à réduire les crues

Chaque année, nos experts travaillent activement pour utiliser notre réseau d’installations de façon optimale afin de limiter les impacts des crues printanières sur les populations.

Vidéo : Les crues printanières

Cette vidéo explique simplement comment les différents types d’installations d’Hydro-Québec contribuent à diminuer l’ampleur des crues printanières, montre le travail que nous faisons et les outils que nous employons pour prévoir les crues et aider à les limiter.

Durée : 5 minutes 50 secondes
Surveillance et mesure du couvert de neige pour prévoir les crues.

Nous utilisons toute notre expertise pour prévoir les crues et aider à les limiter

Tout au long de l’année et particulièrement au printemps, nous travaillons de concert avec tous les intervenants concernés. Ça fait partie de notre mission.

Les réservoirs diminuent toujours l’ampleur des crues

Nous les vidons l’hiver pour qu’ils emmagasinent de très grandes quantités d’eau au printemps. Si ces installations n’étaient pas là, le niveau de l’eau pendant les crues serait encore plus élevé.

Les réservoirs permettent d’emmagasiner de l’eau au printemps et diminuent l’ampleur des crues.

Les centrales au fil de l’eau n’ont pas d’impact sur l’ampleur des crues

Comme elles n’ont pas de réservoir, elles n’ont aucun moyen de retenir l’eau. En période de crue, il faut simplement ouvrir les vannes pour laisser libre cours à la rivière.

Foire aux questions

Le saviez-vous ?

  • La préparation à la crue printanière dure plusieurs mois à Hydro-Québec et nous misons sur des météorologues, des ingénieurs, des hydrologues et même des océanographes afin de bien suivre l’évolution des cours d’eau.
  • Chaque printemps, les réservoirs situés dans la partie sud du Québec sont à leur plus bas niveau pour retenir un maximum de l’eau issue de la fonte des neiges.
  • Dans certaines régions, la quantité d’eau ainsi retenue représente jusqu’à 40 % de toute l’eau qui se retrouve sur le territoire.
  • Le réservoir Gouin, situé en Haute-Mauricie, est surnommé le gardien du Saint-Maurice et sa construction a été terminée en 1917. Envie d’en savoir plus ? Visitez la page consacrée au barrage Gouin.
  • Le bassin versant de la rivière Saint-Maurice s’étend sur 42 651 km2, soit un territoire plus grand que les Pays-Bas.
  • Le bassin hydrographique de la rivière des Outaouais est trois fois plus grand que le territoire de la Suisse et une goutte d’eau peut mettre jusqu’à trois semaines pour traverser ce bassin, de sa source jusqu’à la région de Montréal.
  • On retrouve treize principaux réservoirs dans le bassin de la rivière des Outaouais et Hydro-Québec n’est propriétaire que de quatre d’entre eux. La Commission de planification de la régularisation de la rivière des OutaouaisCe lien mène à l'extérieur du site d'Hydro-Québec. assure la gestion intégrée des réservoirs de tous les partenaires.
  • Hydro-Québec a inventé et commercialisé un appareil, le GMON, qui permet de déterminer au quotidien la quantité d’eau contenue dans la couverture de neige. En apprendre plus sur l’appareil GMONCe lien mène à l'extérieur du site d'Hydro-Québec..
  • Plusieurs centrales hydroélectriques ne peuvent aucunement retenir l’eau au printemps. On les appelle centrales au fil de l’eau et la majorité des centrales situées dans le sud du Québec sont de ce type.