La production, le transport et la distribution d’électricité font appel à un grand nombre de métiers qui ne cessent d’évoluer. Pour conserver la mémoire de ces métiers, Hydro-Québec recueille les témoignages et reconstitue les pratiques de ses employés qui possèdent un savoir-faire voué à disparaître. L’entreprise collectionne également des objets utilisés dans le cadre de ces pratiques.

Jointeur (transport et distribution)

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  • Banc de jointeur, utilisé pour l’entretien des lignes de distribution souterraines.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    2009.0186

  • Jusque dans les années 1970, les jointeurs coulaient des joints de plomb sur place lorsqu’ils devaient raccorder des câbles électriques ensemble.

  • Un jointeur soude les conducteurs de deux câbles au moyen de manchons de cuivre étamé et d’étain fondu.

  • Un jointeur d’Hydro-Québec TransÉnergie travaille sur le circuit 1242 de la ligne souterraine reliant les postes Atwater et Hadley.

  • Installation d’un câble souterrain de 66 000 volts dans la rue Benoît, entre le boulevard Dorchester (aujourd’hui René-Lévesque Ouest) et l’ancienne rue Vallée à Montréal en 1955. On privilégie les lignes souterraines dans les quartiers densément peuplés et à la sortie des postes pour éviter la multiplication des fils et des poteaux.

    Archives d’Hydro-Québec

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Monteur de lignes (transport et distribution)

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  • Combinaison de protection des monteurs de lignes.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    2005.0332

  • Ceinture que le monteur de lignes Jacques Poissant a portée de 1963 à 1969. Ce type de ceinture est constitué d’un dosseret en cuir qui soutient le dos, et d’un blanchet riveté muni d’anneaux d’accrochage ou de boucles porte-outils. La ceinture peut faire partie d’un dispositif plus complexe tel qu’un harnais de sécurité.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    2007.0034

  • Les monteurs de lignes fixent des étriers à griffes à leurs bottes pour grimper dans les poteaux de bois. Jacques Dion, monteur de lignes à Saint-Bruno, a utilisé ce modèle de « grimpettes » durant toute sa carrière, soit de 1977 à 2009.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    2009.0048

  • Gants isolants portés par les monteurs de lignes pour se protéger contre les dangers électriques.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    2005.0331

  • Conducteurs électriques réunis par une épissure, qui consiste dans l’enroulement des fils les uns sur les autres.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    2005.0231

  • En 1951, des monteurs de la Shawinigan Engineering remplacent des conducteurs qui ont été installés en 1926 sur la ligne de l’Isle-Maligne–Québec. L’objectif : augmenter la capacité et réduire les pertes en ligne.

    Archives d’Hydro-Québec

  • Les premiers monteurs de lignes de transport faisaient un métier difficile dans des conditions dangereuses. Vers 1940, Maurice Brodeur, un lignard de la Shawinigan Water and Power, travaille sur la traversée de Trois-Rivières, à près de 122 mètres au-dessus du fleuve Saint-Laurent.

    Archives d’Hydro-Québec

  • Après le choix du tracé, l’acheminement du matériel et l’installation des portiques, vient le temps de tirer les conducteurs de la ligne de transport, ce qu’on faisait au moyen d’un système de poulies en 1958.

    Archives d’Hydro-Québec

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Releveur de compteur (distribution)

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  • Uniforme réglementaire que les releveurs de compteurs d’Hydro-Québec portaient durant leurs tournées chez les clients dans les années 1968 à 1980.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    2009.0220

  • Pour empêcher le vol d’électricité, les releveurs utilisent cette pince à sceller pour poser un sceau de sécurité en plomb sur les compteurs. Le numéro d’identification du releveur est gravé dans le sceau de plomb au moyen du poinçon de la pince.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    2004.0013

  • Le releveur de compteur bloque le recul de demande d'un compteur de puissance à l'aide d'un fil métallique scellé d'un sceau de plomb et d'un poinçon portant son numéro du releveur.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    2004.0013

  • Scellé de sécurité pour compteur. Il faut nécessairement briser le scellé pour accéder aux réglages du compteur et en modifier les paramètres. Le scellé porte le numéro d’identification du releveur qui l’a posé.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    1998.0068

  • Sceau en plastique.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    2007.0018

  • Premier micro-ordinateur à main (MOM) utilisé par les releveurs d’Hydro-Québec pour recueillir et transmettre les données des compteurs.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    2007.0015

  • Les composants de ce modèle de compteur étaient conçus et fabriqués par Ferranti Ltd., une société britannique, puis expédiés au Canada, où ils étaient assemblés par une filiale de l’entreprise. Comme ce modèle, qui date de 1937, ne convenait pas à notre climat, Ferranti Canada voulait concevoir ses propres compteurs. La société mère lui a finalement donné son accord durant la Deuxième Guerre mondiale, lorsqu’elle s’est trouvée dans l’impossibilité d’approvisionner le Canada en composants.

    Collection Édouard Thibault
    2008.0025

  • Fabriqué en 1928, ce compteur domestique calculait la consommation en wattheures.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    1997.0093

  • Tous les moyens étaient bons pour faire le travail, même la carriole : le releveur de compteurs Robert Tessier, de la Shawinigan Water and Power Company, s’apprête à faire sa tournée à Saint-Tite, en 1947.

    Archives d’Hydro-Québec

  • Comme son nom l’indique, le parachien permet aux releveurs de compteurs de se protéger contre les attaques de chiens lorsqu’ils accèdent à la propriété d’un client.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    2012.0074

  • Un releveur de compteurs enregistre la consommation des clients grâce à son micro-ordinateur à main (MOM).

    Collection historique d’Hydro-Québec
    1996.0235

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Scaphandrier (production)

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  • Interphone utilisé pour communiquer avec les scaphandriers.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    2012.0235

  • Durant la première moitié du 20e siècle, les travaux d’inspection et d’entretien des ouvrages et des équipements immergés étaient effectués par des plongeurs équipés d’un scaphandre comme celui-ci. Le casque à lui seul pèse plus de 35 kilos. Les conditions de travail étaient extrêmement difficiles, les scaphandriers devant parfois s’aventurer dans des eaux glacées.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    1996.0234

  • Ces chaussures lestées pèsent plus de 9 kilos chacune (environ 20 livres). Leurs semelles de plomb aidaient les scaphandriers à descendre au fond de l’eau et à garder l’équilibre.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    2005.0414

  • Un matin de l’hiver 1951, un scaphandrier amorce sa descente dans les eaux du Saint-Laurent durant la deuxième phase de la construction de la centrale de Beauharnois.

    Archives d’Hydro-Québec

  • Robot Maski.

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Opérateur de centrale (production)

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  • Annonciateur utilisé à la centrale de Paugan de 1920 à 1929. Les opérateurs utilisaient ce dispositif pour transmettre des messages visuels sur l’état de fonctionnement des groupes turbines-alternateurs. Il suffisait d’allumer ou d’éteindre le numéro des turbines selon qu’elles tournaient ou non.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    2005.0410

  • Installés en 1911 et devenus obsolescents en 2000, ces tableaux de commande ont été conservés in situ à la centrale de Shawinigan-2. Ils servaient à ajuster la production et à surveiller le fonctionnement des équipements. En lieu et place d’un tableau de commande, les opérateurs de centrale surveillent maintenant des écrans d’ordinateurs pour s’assurer du bon fonctionnement des équipements, détecter les anomalies et apporter les correctifs nécessaires.

    Collection historique d’Hydro-Québec
    1996.2046

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